Enduction

Le procédé d’enduction consiste à déposer un revêtement sur un substrat solide ou fibreux. On trouve de nombreuses variantes d’enduction : au rouleau (roll-to-roll), à la racle, par sérigraphie, par trempage, par calandrage,…

Quelque soit le type de revêtement (peinture, vernis, plastisol ou autre), l’enduction met en jeu différents phénomènes physiques dépendant finement du couplage entre formulation et procédé, susceptibles d’occasionner des défauts et divers problèmes.

Le procédé d’enduction, subtil équilibre de phénomènes

Dans tous les processus d’enduction, le revêtement doit être déposé par un système favorisant à la stabilité des conditions et la cadence de production, c’est à dire dans le cadre de phénomènes dynamiques de changement d’état (formation de film, séchage,…), de physique et physico-chimie aux interfaces (mouillage dynamique, tension de surface), de rhéologie, d’interaction physico-chimiques avec le substrat sous contraintes thermomécaniques.

En pratique, ces questions sont essentiellement abordées par des tests empiriques, visant à atteindre un point de fonctionnement satisfaisant en ne plus en bouger. Dès lors, la recherche de point d’optimisation ou simplement d’autres conditions pour d’autres produits engage souvent une mobilisation de l’outil de production.

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